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21/03/2012

Water Bloom - Kuik Swee-boon / T.H.E. Dance Company

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Water Bloom par T.H.E. Dance Company
© Elian Bachini

Une danseuse entre en scène, portant un lourd morceau de bambou. Lentement, ployant sous le poids de son fardeau, elle se dirige vers un long tube de bambou descendant du ciel et y ajuste la partie manquante. Précautionneusement, à petits pas menus, les autres danseurs entrent alors en scène et semblent en prendre la mesure insensiblement, en éprouver l'atmosphère, pour mieux se l'approprier. Découvrir la suite...

17/03/2012

[danse / théâtre] Parce qu’on va pas lâcher / Cie Onstap

Parce qu'on va pas lâcher,cie onstapIls sont deux. Grands, minces, bruns. Polos, pantalons beiges, baskets blanches. Et sourires radieux. Deux potes échappés des banlieues avignonnaises, Mourad Bouhlali et Hassan Razak, qui se tapent dessus. Pieds, cuisses, torses, bras, mains, visages, le corps est utilisé comme instrument de percussion (c'est du "step", ou percussions corporelles) et l'esthétisme du geste accompagne la précision du rythme. L'ensemble forme une harmonie accompagnée de gestes dansés. On est à la croisée de la danse et de la musique ; le travail des mains et de tout le corps constitue une véritable chorégraphie, virtuose par sa rapidité d'exécution, et pleine de grâce. Découvrir la suite...

08/03/2012

[performance] 50 minutes / Pascal Rambert

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Kate Moran dans 50 minutes de Pascal Rambert.
© Elian Bachini

Rendez-vous à la collection Lambert, musée d'art contemporain d'Avignon, pour une performance spécialement crée pour Les Hivernales et annoncée comme une « évocation entre le 11 septembre à New York et le 11 mars à Tokyo ».

Kate Moran est en scène, hyper-féminine : débardeur blanc, jupe noire, bas, talons aiguilles. Petit à petit elle ôte ces attributs et se trouve nue. Lente déambulation de part et d'autre de la longue salle blanche et claire du musée. Poses. Avec aise et naturel, elle se livre aux regards, joue de son accent américain, cherche la complicité avec le public assit au sol, à ses pieds, entre en séduction. L'apparition est belle, mais on ne sait ou elle veut en venir. On attend la suite. Découvrir la suite...

06/03/2012

[danse contemporaine] Hara-kiri / Compagnie Didier Théron

Introduction : une danseuse évolue seule et sans musique. Mouvements saccadés, hésitations, questionnement. Scène hallucinée qui finit dans un geste explicite d'éventration : hara-kiri.

hara-kiri,didier théronPuis cinq danseurs, hommes et femmes confondus, vêtus de noir, proposent une chorégraphie très graphique. Graphie des mouvements, langage du corps, membres tordus et dos courbés, gestes bruts. Les danseurs vont et viennent en vagues collectives, en cohorte hallucinée, sur un rythme névrotique, scandé, hypnotique. Découvrir la suite...

26/07/2008

[danse contemporaine] La confidence des oiseaux, migration d'été / Le Guetteur - Luc Petton & Cie

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Deux danseuses sortent de la nuit, vêtues de leur seul maquillage d'indien, couleur terre, et harnachées de structures en bois. Elles tendent un bras, une jambe, et offrent ainsi un appui à leurs partenaires : corneilles, étourneaux, geais, perruches, pies… Une corneille danse un pas de deux avec une jeune femme en sautillant le long de son corps, d'une extrémité d'un pied jusqu'au bout des doigts, des étourneaux s'ébrouent dans un miroir d'eau tandis qu'une danseuse leur donne la réplique... Découvrir la suite...